l'univers de la spiritualité

        Voici une autre expérience d’union qui peut être réalisée de préférence lorsque les beaux jours arrivent. L’idéal est de la faire au printemps car notre corps cherche à se réveiller de la torpeur de l’hiver et nous sommes beaucoup plus attentifs aux premiers signaux qui vont nous donner envie de sortir de notre « grotte ou de notre terrier… » Il s’agit donc de sortir de chez soi, par un bel après midi ensoleillé de printemps, quand la température extérieure devient douce. Il faut trouver un coin de nature tranquille où l’on ne risque pas d’être dérangé, une forêt est parfaite pour cela. On choisit un endroit où l’on peut s’allonger, au milieu des feuilles mortes ou sur de l’herbe sèche, il ne faut pas qu’il y ait trop d’humidité pour ne pas avoir froid.   Dans un premier temps on respire, on rempli nos poumons de cet air frais et humide qui vient du sol, on capte l’odeur de la terre, de la mousse, peut-être de petits champignons...

 J'ai vécu l'expérience du réveil de la kundalini quand j'étais adolescente. J'eu d'autres expériences similaires et même identiques ensuite. Mais c'est en assistant à une conférence de la personne qui est devenue, plus tard, mon professeur, maître de yoga et d'Ayurveda que je me suis rendu compte que ces expériences que j'avais vécues n'étaient pas si occasionnelles, mais qu'elles correspondaient à un parcours initiatique. Je me rappelle de certaines expériences mieux que d'autres. Certaines je pourrais  encore les toucher, les ressentir et les raconter... La journée était belle, je marchais le long d'une rue assez pentue, bordée de pavillons de banlieue sur ma droite. Des petits jardins ornaient agréablement les trottoirs, des voitures avançaient précipitamment sur le boulevard à ma gauche.  J'avais séché les cours. Ce n'était pas une décision que j'avais prise, c'était le résultat d'une succession  d'événements....

       Cette expérience est la plus saisissante au lever ou au coucher du soleil. Pour la réaliser, il est intéressant d’avoir une vision dégagée de l’horizon. Placez-vous de préférence dans un endroit élevé, le sommet d’une montagne, d’une dune au bord de la mer voire d’un édifice qui vous permet de voire la ligne de l’horizon, si possible à 180° (sans obstacle si vous regardez à droite ou à gauche).   Regardez en direction du soleil, dont l’intensité est suffisamment faible au lever et au coucher pour être observée sans filtre ou lunettes (vous pouvez en porter si cela vous convient mieux).    Maintenant il faut inverser le schéma habituel qui consiste à se dire que le soleil apparaît ou disparaît   derrière l’horizon, mais visualiser que c’est la terre qui est en train de tourner devant le soleil. Pour cela vous pouvez prendre un repère sur l’horizon ; un détail du relief, voire un élément plus proche de vous qui vous permettra un...

  Nous sommes des générateurs d’énergie, de véritables petites usines ambulantes.                         Pour les faire fonctionner, il nous faut du combustible (de la nourriture), qui nous permet d'obtenir l'énergie nécessaire au fonctionnement de notre corps. Il en transforme une partie en énergie mécanique, pour nous déplacer, effectuer nos tâches quotidiennes et il en dissipe aussi une partie sous forme de rayonnement: Il y a principalement le rayonnement infrarouge ; la chaleur que nous produisons pour maintenir notre corps à température constante. Ce rayonnement nous ne pouvons pas le voir avec nos yeux, c’est notre peau qui est capable de le percevoir. Aujourd’hui il est utile de localiser et de quantifier à distance les sources de chaleur (ou de froid), c’est pourquoi nous avons créé des capteurs qui pallient l’incapacité de notre œil à voir l’infrarouge : ...