La mort n'est pas la fin, mais un retour à l'Un Et si nous considérions la mort comme une métamorphose "sacrée" ( sacré dérive étymologiquement de l'adjectif latin sacer (« ce qui ne peut être touché sans être souillé, ou sans souiller »), ou/et du verbe sancire (« délimiter, prescrire »), un retour cyclique de la conscience au sein de l’Un, d’où tout vient. Si nous commencions à penser qu'il n’y a rien à craindre de la mort: rien de réel n’est perdu, l’âme ne meurt pas, elle évolue, se souvient et se résorbe dans l’océan de la Vie. Ainsi la mort, vue sous cet angle, n’est pas une destruction mais une réélaboration à travers la libération. Ce n’est pas une perte, une absence, mais une présence, une existence subtile. Ce n’est pas non plus le contraire de la vie, mais son rythme profond, son essence "cachée", dissimulée à nos yeux. Et si nous comprenions vraiment cela ? Cela nous permettrait de ...